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Francés B1 EOI Aragón - Une dernière lune de miel avant les couches

La Babymoon débarque en France. Un break romantique quelques semaines avant la naissance d'un bébé.

 

Babymoon - Une dernière lune de miel avant les couchesVous l'avez sans doute déjà fait sans même savoir que vous étiez tendance. Des vacances en tête à tête avec le père de votre futur enfant, histoire de faire un break romantique quelques semaines avant la naissance du bébé. Jusque-là rien de très nouveau pensez-vous. Sauf qu'aux États-Unis, ça porte un nom. On appelle ça une « babymoon ».
Et oui, après les honeymoons (lunes de miel), voici les babymoons, un concept marketing juteux au succès grandissant outre-atlantique. À l'origine, le terme babymoon évoquait plutôt le temps privilégié que les parents passaient avec leur bébé juste après sa naissance. Rhabillé par les professionnels du voyage, il désigne maintenant des packages « all included », tout compris, proposés aux futurs parents soucieux de se « retrouver », au calme, avant l'ouragan... Une honeymoon dopée aux hormones en quelque sorte.
Selon l'industrie du tourisme, 6 millions d'Américains se laisseraient tenter chaque année par la formule qui peut aussi séduire des femmes très avancées dans leur grossesse, même si les gynécos jugent évidemment que le deuxième trimestre est la meilleure période pour aller se faire papouiller dans des hôtels et des spas spécialisés dans l'accueil des ventres ronds. Une envie subite de crème glacée à 2h du mat ? Pas de problème, grâce au room service 24/24, l'homme n'a même plus besoin de courir les rues désertes en pleine nuit.
Le moindre désir de la femme enceinte est devancé, tous les services sont adaptés à son état physiologique (pas de hammam ni d'huiles essentielles par exemple). Tout est fait pour qu'elle se sente divine, qu'elle oublie (un temps) ses vergetures, ses hémorroïdes et les brûlures d'estomac (qui a dit que la grossesse était un moment formidable ?). Pour madame, massages prénatals, drainage lymphatique, yoga, pédicure (vous avez déjà essayé de la faire vous-même à 7 mois de grossesse quand vous arrivez à peine à apercevoir vos orteils ?), pour monsieur un peu de sport (ah ! ces fichus kilos de la couvade), et bien sûr dîners aux chandelles et virées shopping pour trouver le trousseau de naissance ou les fringues qui permettront de rester glamour en allaitant (si si, il paraît que ça existe...). Tout ça n'est évidemment pas toujours donné, surtout si on part au bout du monde, dans un
resort luxueux sur une plage de sable blanc. Mais c'est au nom de la sauvegarde de la vie de couple, alors on ne va pas commencer à mégoter !
Comme souvent, le concept a traversé l'Atlantique et l'on commence à voir des agences et des hôtels proposer des week-ends « babymoon » en France. Dans des contrées vertes et zen comme Evian, Vittel, la Provence, ou encore le Bordelais et la Champagne. [...]
Difficile de prédire si les babymoons connaîtront le même engouement qu'aux États-Unis. [...]
Mais à bien y réfléchir, les Françaises étant championnes de la natalité, avec un taux de fécondité de deux enfants par femme, en grande partie grâce à une politique familiale certes loin d'être parfaite mais que nous envient pas mal de femmes dans le monde, pourquoi ne pas suggérer que ces vacances antepartum ne soient un jour remboursées par la Sécurité Sociale ? Au nom du renouvellement des générations ! Tiens par exemple quand Nicolas Sarkozy aura enfin terrassé les paradis fiscaux et que la France pourra jouir des 40 milliards de l'évasion fiscale...
Laure Watrin © www.slate.fr 
14/11/2009 (566 mots)

Interview mit Sofia Coppola: "Ich bin ein Kontrollfreak" - Alemán B1 EOI Canarias

Interview mit Sofia Coppola: "Ich bin ein Kontrollfreak"
Sofia Coppola über ihren Film "Somewhere", das Leben im Showbusiness, Nachdrücklichkeit bei Film und Familie und den Moment ihrer Geburt.
Mit einem berühmten Vater wie Francis Ford Coppola ist man vermutlich zum Erfolg verdammt. Doch spätestens seit ihrem Oscar-Gewinn für “Lost in Translation” hat sich Sofia Coppola erfolgreich aus dem übermächtigen Schatten ihres Vaters herausbegeben. Sie hat eine eigene Bildsprache gefunden, die ihre Filme so besonders machen - und ihr für “Somewhere” bei den Filmfestspielen von Venedig 2010 den goldenen Löwen eingebracht haben.

Krise in Südeuropa Italiener stürmen Deutsch-Kurse - Alemán B1 EOI Baleares

Online-Übungen für Deutsch als Fremdsprache

Tausende Italiener büffeln1 plötzlich Deutsch. Die Sprache Goethes galt lange als schwer und wenig nützlich. Doch nun locken in Goethes Heimat, nördlich der Alpen, Jobs und Geld. Für Auswanderungswillige ein guter Grund, sich mit der für sie schwierigen Grammatik zu beschäftigen.


EOI alemán B1 resuelto - Krise in Südeuropa Italiener stürmen Deutsch-Kurse „Es wird immer schlimmer“, sagt Massimo. Die Kommune2 in Italien, für die der selbständige Handwerker arbeitet, sind quasi pleite. Sie zahlen Massimos Rechnungen mit monatelanger Verspätung. Manchmal dauert es ein Jahr, bis er sein Geld bekommt. Er aber muss Material, Steuern und Abgaben immer sofort bezahlen, oft auf Kredit.
Massimo hat keine Lust mehr auf Italien, er sucht sein Glück im Norden. „Ick gehe nack Deutscheland“, sagt Massimo. In der Nähe von Ulm hat Massimo Verwandte, da will er hin, da will er arbeiten und mehr Geld verdienen als daheim. Ein kleines Problem gibt es noch: Er muss Deutsch lernen. „Das sär schwierige“, stöhnt er. Aber er werde es schon schaffen.
So wie Massimo bemühen sich im Moment Tausende von Italienern, junge wie ältere, eine Sprache zu lernen, deren Grammatik ihnen ebenso schwer fällt wie die zungen-, lippen- und halsbrecherische Aussprache. Worte wie „Schleswig-Holstein“ oder „Bordsteinkante“ können sie einfach nicht richtig sagen. Und der in Italien immer noch vergötterte Formel-1-Pilot Michael Schumacher wird selbst von den Experten im italienischen Fernsehen „Skumaker“ genannt.

Ubisoft: L'interview à Yves Guillemot - EOI francés B1

Ubisoft: L'interview à Yves Guillemot

À quelques jours de son assemblée générale, Yves Guillemot, le PDG d’Ubisoft est confiant. Le champion français du jeu vidéo confirme ses objectifs annuels et prévoit une croissance de 20% cette année. Guillemot rejette toute idée de mariage avec Electronic Arts, expliquant que la convergence entre les industries de l’Internet et du jeu vidéo offre de nombreuses combinaisons.

 


Capital.fr : Quel rythme de croissance attendez-vous cette année ?
Yves Guillemot : Depuis janvier, les ventes de jeux ont progressé de 30% aux États-Unis et en Europe. Ce rythme devrait ralentir car de nombreux jeux à succès ont été lancés au cours du premier semestre. Sur l’ensemble de 2008, le marché devrait progresser de 20%. Nous attendons encore une année de croissance en 2009 avec une hausse des ventes d’au moins 10%.

Capital.fr : Avec le ralentissement économique, comment expliquez-vous la bonne évolution de l’industrie du jeu vidéo ?
Y.G. : Le marché du jeu se développe progressivement, grâce à la montée en puissance de la Wii ou de la DS de Nintendo. Ces consoles offrent de nouvelles façons de jouer, comme certains jeux (Guitar Hero), qui permettent l’arrivée de nouveaux joueurs. Si le joueur type était jusqu’à présent un garçon âgé de 6 à 40 ans, aujourd’hui les filles de 8 à 12 ans et les femmes de plus de 40 ans prennent une place croissante.

Capital.fr : Quels bénéfices réalisez-vous avec Nintendo ?
Y.G. : Aujourd’hui, Nintendo représente près d’un tiers de notre chiffre d’affaires. Et ce niveau devrait continuer à augmenter au détriment des jeux pour ordinateurs. Nintendo, qui a créé une nouvelle façon de jouer avec des jeux dits « casual » (= des jeux familiaux, plus faciles à jouer), devrait maintenir sa position privilégiée, même si ses concurrents, comme Microsoft, ont baissé le prix de leurs machines.

Capital.fr : Produire un jeu coûte de plus en plus cher, comment faites-vous ?
Y. G. : Produire un jeu « casual » coûte en moyenne 1 million d’euros, et il faut compter jusqu'à 20 millions pour un jeu haut de gamme. Dans ces conditions, un éditeur doit atteindre une certaine taille pour pouvoir consentir d’importantes dépenses en recherche et développement et assurer le développement de plusieurs jeux. L’objectif est de ne pas dépendre du succès d’un seul titre.

Capital.fr : Un rapprochement entre Electronic Arts et Ubisoft serait-il souhaitable pour concentrer le capital?
Y. G. : Chaque entreprise a son propre fonctionnement et a su développer des succès grâce à sa gestion, ses équipes. Et même si une fusion n’est pas impossible, il est toujours difficile d’unir des équipes si opposées. Aujourd’hui, Ubisoft, qui enregistre une forte croissance, doit rester indépendant.

Capital.fr : Quand allez-vous commercialiser sur le marché des jeux massivement multijoueur sur Internet ?
Y. G.: Nous sommes en effet absents de ce marché, mais nous comptons dès l’an prochain lancer un jeu massivement multijoueur « light ». C'est-à-dire que notre jeu sera accessible gratuitement, mais il faudra ensuite payer un abonnement mensuel. Et si les premiers jeux seront des RPG (= jeux vidéo de rôle) destinés à un public de joueurs passionnés, nous devrions rapidement lancer des jeux plus grand public.
(Texte adapté pour cette épreuve)

A magician with numbers - EOI Aragón inglés B1 resuelto

Born on a Blue Day - Daniel Tammet
Daniel Tammet has an extraordinary gift for mathematics. 

He can also speak 10 languages as well as his own invented language, "Mänti". 

Daniel’s mathematical abilities are so extraordinary that it took a long time for them to be recognised. He struggled at school. He got a B at Maths GCSE. He wasn't diagnosed with Asperger's syndrome until three years ago, at 25. Sooner would have been better "both for me and my parents".
 “As a child I didn't speak very much. I used to put my fingers in my ears to feel the silence. It was hard for me to find my voice because I was, for so long, absorbed in my own world," says Daniel "I had to teach myself to look in somebody's eyes," he explains. "Before that, I used to look at their mouth, because it was the part of their face that was moving."
Daniel's condition brings him great riches: his visualisation of numbers means he can perform extraordinary mathematical achievements. Daniel's world is a rich and strange one, where every number up to 10,000 has colour, texture and emotional resonance. More remarkable still, he has described it all in Born on a Blue Day, his memoir of his life with a rare form of Asperger's; consciousness-raising is part of his motivation for writing his book. "My condition is invisible otherwise."
Scientists at California's Center for Brain Studies were amazed when, two years ago, they discovered his facility for discerning prime numbers. They had assumed he must have been trained to do it. But to him, it is more like an instinctive process.
"The scientists and researchers come to me so I can help them design the parameters of their experiments," he says. It is important to Daniel that he uses his gifts responsibly, perhaps for science, perhaps for teaching: he is already devising a new system of visualisation to help with language learning and dyslexia.
Daniel was lonely. Forming relationships was difficult. "I was desperate for a friend and I used to lie in bed at night thinking about what it would be like. My younger brothers and sisters had friends and I used to watch them playing to try to work out what they did and how friendship worked. Then, I would have traded everything for normality”.
Falling in love with Neil has changed everything. They have been together for six years. Now his emotional life is more like everyone else's. "Neil is very patient with me, and the routines I need to have to help with my anxieties," says Daniel. "I don't know what I'd do without him."
Generally, Daniel feels he is progressing all the time towards "outgrowing" his autism." He is getting steadily better at social interaction. "Every experience I have I add to my mental library and hopefully life should then get easier." I've learned that being different isn't necessarily a bad thing." In this, he seems to sum up the progress we all hope for.

Working for the Royal Household - EOI Aragón inglés B1 resuelto

Working for the Royal Household
The Royal Household provides unique career opportunities for those who wish to take a new direction. 

REWARD AND BENEFITS

There is a wide range of benefits and facilities available to permanent and fixed-term contract employees of the Royal Household. These include the following:
•    Eligibility to join the Royal Household Stakeholder pension scheme and receive a 15% employer contribution to a portable pension, death in service cover (four times salary), and ill health cover after six months' service
•    25 days' annual leave rising to 30 days after 10 years' service (pro rata for part-time or fixed-term contracts)
•    Excellent staff dining facilities at Buckingham Palace. Staff at all sites are provided with a free lunch each working day
•    Supportive sick pay and family-friendly policies
•    For those who are eligible, subsidised accommodation and housing, for which an abatement is charged
•    20% discount in all Royal Collection Shops and 10% discount in Windsor Farm Shop
•    Complimentary tickets to the occupied Royal residences and galleries
•    Employee Assistance Programme (independent information and counselling service) open to all employees and their immediate family 

TRAINING AND DEVELOPMENT

The Royal Household aims to ensure that all employees have the necessary knowledge, skills and experience to contribute to their maximum potential. Many training and development opportunities are available to staff, including:
•    Full induction training for all new employees
•    Structured on-the-job programmes
•    Technical training
•    IT training
•    Personal skills and management training
•    Financial support and study leave for relevant professional qualifications.
All employees receive a structured performance development review at least once a year, when there is an opportunity to discuss performance and training and development needs with managers.

EQUALITY AND DIVERSITY

The Royal Household aims to employ the best people from the widest available pool of talent. It also strives to ensure that all employees are able to contribute to their maximum potential, irrespective of gender, race, ethnic or national origin, disability, religion, sexual orientation or age. The Royal Household does and will:
•    Take steps to attract employment applications from talented individuals in all sections of the community;
•    Review periodically selection criteria and processes to ensure individuals are recruited and promoted on the basis of their merits and abilities relevant to the job;
•    Provide a working environment in which no employee experiences discrimination, harassment or intimidation.

Fathers fight for family flexy-time - EOI CyL inglés B1 resuelto

Fathers fight for family flexy-time
Growing numbers of men are rejecting the culture of working long hours in favour of spending more time at home, according to a study which reveals a social revolution is taking place as fathers become increasingly involved in bringing up their children.
Men are a substantial and fast-rising proportion of those seeking their employer's permission to work flexi-time, with shorter hours or fewer days. But they face more obstacles to securing a better work-life balance than women.
In the last two years 1.2 million men, around 10 per cent of the mat workforce. have asked their employer if they can work flexibly. That is far less than the 2.3 million women (19 per cent) who have sought the same change in their hours, but a big increase on previous years.
‘ More men are seeking the right to switch to working flexi-time, a nine-day fortnight or four-day week so they can be around to help their children and partners. And even more would do so if the rules on flexible working were changed so that all workers, not just parents, could do that', said Jo Morris, the1TUC'swork-life balance policy officer.
Jenny Watson, the chair of the Equal Opportunities Commission, said the TUC's research confirmed that Britain was in the middle of 'a social revolution' in how much time fathers want to spend with their families. More fathers are more concerned to be more involved with their families than ever before. Their desire to do so is moving faster than politicians' attitude to this. ‘This is a very private revolution, which often happens within a family that has to make a decision about childcare, and it has gone relatively unnoticed by those making public policy', said Watson.
'While some employers are good on flexible working, in other workplaces there can be an assumption that flexible working is for mothers, and fathers can find it not just hard to get but even hard to ask for it, because the prevailing culture is that, if you request it, you aren't serious about your job,' said Watson.
Since April 2003 parents of children under six have been able to ask their employer to vary their hours of work. But employers are only legally obliged to give "reasonable consideration" to such requests.
'Employers' greater unwillingness to let male workers change their hours is unhealthy because it reinforces the pattern of women with children being locked into low-hours and low-paid jobs and deepens wonen’s financial dependence on men, such as in their pension prospects in old age,' said Morris.
1 Trade Union Congress
Although allowing flexible working leads to happier, more productive employees and greater staff retention, some employers see it as difficult to implement and unfair to other workers. There is a slow but definite trend towards a woman being the bread-winner in a growing number of households. The number of men choosing not to work at all so that they can look after their home or children has risen according to the Office of National Statistics.

Adapted © The Observer 2006

Slow movement - EOI Canarias inglés B1 resuelto

Slow movement
The Slow Movement began with a protest against the opening of a McDonald’s restaurant in Piazza di Spagna, Rome that sparked the creation of the Slow Food organization. Over time, this developed into a subculture in other areas, such as Slow Travel, Slow Shopping and Slow Design. A principal characteristic of the Slow Movement is that it is propounded, and its momentum maintained, by individuals that constitute the expanding global community of Slow. Although it has existed in some form since the Industrial Revolution its popularity has grown considerably since the rise of Slow Food and Cittaslow in Europe, with Slow initiatives spreading as far as Australia and Japan.

 

Slow Parenting

Slow parenting encourages parents to plan less for their children, instead allowing them to enjoy their childhood and explore the world at their own pace. It is a response to hyper-parenting and helicopter parenting, the widespread trend for parents to schedule activities and classes after school every day and every weekend, to solve children´s problems, and to buy services from commercial suppliers rather than letting nature take its course. It was described most specifically by Carl Honoré in "Under Pressure: Rescuing Our Children From The Culture Of Hyper-Parenting".

 

Slow Travel

Supporters of slow travel argue that all too often the potential pleasure of the journey is lost by too eager anticipation of arrival. Slow travel is a state of mind which allows travellers to engage more fully with communities along their route, often favouring visits to spots enjoyed by local residents rather than merely following guidebooks. As such, slow travel shares some common values with ecotourism. Its supporters and devotees generally look for low-impact travel styles, even to the extent of avoiding flying.

 

Slow Art

Slow art is a developing movement championed by such proponents as Michael Kimmelman, chief art critic and columnist for the New York Times. It supports appreciating an art work in itself as opposed to a rapid, ephemeral state of art common in a chaotic societal setting. One of its central beliefs is that people often search what they already know as opposed to allowing the artist to present a journey or piece in itswhole.

Adapted from www.en.wikipedia.org

Reality TV - EOI Islas Baleares inglés B1 resuelto

Reality TV
There's a new kind of programme on television, and it's hardly like television at all! It's called reality TV and, as the name suggests, it is supposed to show us something very real. The participants aren't actors at all, but ordinary people in their daily lives. We, the viewers, might see them eating, sleeping, arguing or having a good time. We can hear all their conversations and watch their every move. Reality shows, therefore, are not regular television programmes at all. Instead they give us a close-up look into other people's lives. 
Why have reality shows become so popular? What makes us want to watch reality shows on TV? To begin with, we feel that we get to know the participants. We know their names from the beginning and gradually we learn more about them. We might even come to like some of them. Others, we might not like at all! Reality shows take us inside the lives of other people. Mostly, people wonder what it's like to be someone else. Experiencing other people's lives can be a great escape from our own. 
Some people say this has a very healthy effect on society and it's a harmless and entertaining way of passing the time. Other people, however, are not in favour of reality TV. Critics say that it is not really entertainment at all. What could be entertaining about two people doing their laundry or preparing the evening meal? Who wants to watch that? Who wants to hear all of their secrets and gossip? Some social scientists even say that reality TV could have damaging effects on society. 
What kinds of people take part in reality programmes? Well, since the participants may win a prize, they might be doing it for the money. There could be other reasons as well. For example, the participants on these shows become well known to the viewers. They may even become famous and find more work in TV after the reality show ends. Not only that, but some people may really like the attention of millions of eyes on them every day and night. Clearly, reality TV is not for shy people! 
New reality shows appear all the time. They can take place on a farm, in an apartment or even on an island. Each time a new show begins, it seems to be even more daring than the previous one. What do you think the future holds for reality TV? Could the next show take place in your city, neighbourhood or school? Eventually, the day may come when we can all be part of reality TV
Source: Adapted from article: “Reality Shows” by Chris Dufford.

Ils ont osé tout plaquer. Et après? - EOI francés B1

Ils ont osé tout plaquer

Laurence Passy 40 ans

« Je travaillais pour une entreprise de lunetterie à New York. Professionnellement j’étais au top. Et puis, j’ai eu un très grave accident de cheval : je me suis retrouvée à l’hôpital, partiellement paralysée. Ma boîte s’est “séparée” de moi, mon mec aussi. Je n’avais pas le moral ! C’est grâce à ma psy que j’ai compris qu’il fallait que je change de vie.
Après l’accident, je me mets à la recherche d’un vignoble dans le Sud-Ouest. Sur le chemin, en Auvergne, je m’arrête dans un très joli village médiéval, “ressuscité” par une copine d’enfance.. Je m’entends lui dire : “Appelle-moi si tu as des soucis.” Trois mois plus tard, son affaire est à vendre.
Coup de foudre. J’ai investi quinze ans d’économies pour redonner une âme à ce lieu sublime. Je suis ravie. Je suis au four et au moulin de 7 heures à 1 heure du matin, je fais plaisir et je “me” fais plaisir: j’ai une clientèle de couples d’amoureux. »

 

Léon Petit 53 ans

« En Italie, j’étais une star de cinéma : j’avais tourné 45 films, dont 38 premiers rôles. En 1985, je suis choisi pour tenir le premier rôle dans le plus grand feuilleton français jamais réalisé: “Châteauvallon”.
Je ne pouvais plus faire un pas dans la rue sans que l’on m’arrête. Je venais de rencontrer une dame qui allait changer ma vie et devenir mon épouse, une excellente antiquaire. J’ai pris le risque de tout laisser tomber. Ensemble, nous avons ouvert une boutique aux Puces de Saint-Ouen. Si demain, comme me l’a prédit une voyante, un grand metteur en scène me proposait le rôle de mes rêves, je ne suis pas sûr que j’accepterais. Le métier d’antiquaire n’est pas facile, mais je l’adore. »

 

Estrella Martinez 35 ans

« Petite, mes parents, musiciens, m’emmènent au Kenya pour l’inauguration de l’Opéra de Nairobi. Je comprends que ma vie est là, en Afrique. En Autriche, mon pays natal, je me désespère. À 14 ans, je vole de l’argent à mes parents et m’envole pour Nairobi. Interpol me retrouve trois jours plus tard. Retour à la case départ.
Ensuite, j’épouse un Français à Paris. Je suis heureuse… le jour. La nuit, je me réveille en pleurs avec une pensée lancinante : “Tu t’es trahie.” Un documentaire télé sur les gorilles me fait l’effet d’un électrochoc. Je décide de tout larguer – Paris, mon job, mon mari – pour le reportage animalier. John Paris, un milliardaire anglais, me confie un projet : la réintroduction de gorilles dans leur milieu naturel, au Congo.
Pendant quatre ans, c’est le bonheur. Mais la guerre civile au Congo nous plonge, moi et mes gorilles, dans le cauchemar. Je dois fuir. De retour à Paris, je suis brisée : une blessure au genou m’immobilise. Je décide de me mettre à l’écriture. Soudain, un soir d’août, à la campagne chez des amis, je ressens la même sensation qu’à 15 ans. Le désir de vivre et de larguer les amarres est à nouveau très fort. Dès que mon livre sera publié en France, je repars en Afrique de l’Est réaliser un projet sur les éléphants. »

 

Pierre Piset 40 ans

« Au lycée agricole, on me traitait de “de bon à rien”. J’ai découvert la culture grâce à un prof qui nous emmenait au théâtre. Je n’ai jamais été un grand lecteur, mais j’ai de grandes oreilles ! Je me souviens du soir où tout a basculé. On était en juin 1990. Nous avions organisé une fête afin de récolter des fonds pour des amis en difficulté. Les spectateurs étaient scotchés à leur chaise en voyant mon interprétation. C’était l’ébauche de ma première pièce. Puis tout s’est enchaîné. J’ai rencontré Marine, une prof de philosophie… Aujourd’hui, je gère une compagnie et un théâtre de 150 places. Je suis heureux. »

Le Centre Pompidou à la conquete des villages - EOI francés B1

Le Centre Pompidou à la conquete des villages
Et le Centre Pompidou créa… le musée mobile. Mais cette structure nomade ne verra le jour que si les mécènes sont au rendez-vous. Concrètement, le patron de Beaubourg, Alain Seban, doit trouver 3 millions d'euros pour financer la construction de ce musée itinérant… destiné à "amener l'art dans les territoires mal irrigués par l’offre culturelle", comme il l'a annoncé lors de la présentation du projet à la presse, jeudi 5 novembre. Autrement dit, transporter Picasso ou Matisse dans les campagnes.
Pour la construction, M. Seban avance "la fin de 2010", .en observant que "2009 devrait être un record en termes de mécénat pour le Centre Pompidou". La présentation du musée mobile s'apparente davantage à une séance destinée à séduire des investisseurs. Et des futurs clients, qui auraient envie d'avoir des maîtres du XXe siècle chez eux… L'idée est d'installer le Centre Pompidou mobile durant un an dans une région, dans trois lieux différents. Les collectivités locales qui accueilleront la structure devront payer. "Chaque étape coûtera 300 000 euros", précise M.Seban…
Les premiers tableaux, dévoilés par la conservatrice Emma Lavigne, en charge de la première exposition, sont prometteurs.
Celle-ci sera dédiée à la "couleur", un thème assez large pour y mettre ce que l'on veut. Dans l'ordre des oeuvres citées : Nature morte au magnolia (1941) de Matisse, Femme en bleu (1901) de Picasso, La Gamme jaune (1907) de Kupka…
Comment assurer la sécurité des oeuvres, alors même que le lieu doit être suffisamment ouvert et attractif pour faire venir un public qui n'a pas l'habitude d'entrer dans un musée ? Patrick Bouchain a conçu l'objet dans l'esprit d'un chapiteau : une structure en bâche démontable.
La construction s'apparente à un jeu d'assemblage : des formes géométriques très colorées - violet, vert, orange - incarneront chacune un espace… M. Bouchain les appelle des "baldaquins" ou "baldacos", en hommage à ces tentures d'étoffe riche que fabriquait l'Irak, explique-t-il. Chaque zone sera plus ou moins sécurisée : "On peut imaginer que la Femme en bleu sera blindée, derrière une vitrine. Et que des installations de Buren, ou autres, permettront au public de toucher l'art.
"M. Bouchain, au début des années 1990, avait créé des "petites maisons foraines" alors que Jack Lang, ministre de la culture et de l'éducation, avait fait de l'art à l'école l'une de ses priorités.
L'extérieur du musée mobile sera très accrocheur, mais l'intérieur sera neutre pour laisser la place aux oeuvres. Et au spectacle. Des comédiens recrutés localement auront pour mission de "scénariser" le parcours afin d'aider les visiteurs à entrer en contact avec l'oeuvre. Les croquis de M. Bouchain sont prometteurs. Il n'y a plus qu'à attendre le feu vert pour la construction - et l'argent.
Le Centre Pompidou mobile fait partie des dix projets de la Commission pour la création artistique animée par Marin Karmitz (Le Monde du 11 septembre), dont une des missions est de toucher un public qui ne fréquente pas les lieux de culture.
Cette annonce est aussi un pas de plus dans la politique de délocalisation des oeuvres par les grands musées, dans le but, notamment, d'alimenter les caisses. Le Louvre, Orsay ou le Centre Pompidou ont dans un premier temps développé la location d'expositions à des musées riches, au Japon, en Australie ou aux Etats-Unis. Il y a eu ensuite la création de musées-bis, comme le Centre Pompidou à Metz (ouverture au printemps 2010) et le Louvre à Lens. Ou encore l'opération Louvre à Abou Dhabi. Voilà le mini-musée qui viendra frapper à la porte des gens, tel le camionboulangerie dans les villages.
On ne connaît pas encore la première destination du musée. Mais M. Bouchain s'est déjà fixé un objectif : "Etre à Marseille en septembre 2012", ville qui sera capitale culturelle de l'Europe en 2013. 
Clarisse Fabre
Source: Le Monde

Nouvelles technologies: quand le corps se bloque - EOI francés B1

Nouvelles technologies: troubles musculo-squelettiques
Quelques mois après l’apparition d’une nouvelle technologie, il n’est pas rare de découvrir un problème de santé associé à un usage un peu trop intensif. Récapitulatif des derniers troubles musculo-squelettiques qui guettent les accros aux nouvelles technos.

 

Abus de SMS, les pouces trinquent.

Avec la vogue des SMS illimités, les pouces sont à dure épreuve. Sollicités des dizaines, voire des centaines de fois par jour, ils finissent par s’enflammer. Et une fois l’inflammation déclarée, seul le repos permet de soulager les articulations.

 

Abus de console, bonjour la Wii elbow.

Les amateurs de tennis connaissent bien le tennis elbow, cette tendinite du coude qui guette tous ceux
qui se remettent un peu trop brutalement à l’entraînement. Cette tendinite n’épargne pas les joueurs de console, soucieux de mettre leur avatar à la première place. L’association britannique des chiropracteurs mettait en garde en 2007 contre ces blessures dues à un usage trop intensif. Elle préconisait un échauffement des articulations (poignet, épaules, cou) pour les prévenir.

 

Abus de Smartphone, attention au cou.

Le fait de se pencher sur son téléphone provoquerait des tensions dans le cou.

 

Abus d'iPad, attention au torticolis.

Une étude américaine a montré que l’engouement pour les iPad et autres supports numériques pourrait engendrer torticolis et douleurs des épaules en raison des mauvaises postures.

 

La 3D responsable de maux de tête ?

La 3D nous ferait-elle tourner la tête ? C’est en tout cas le reproche fait par certains chercheurs et utilisateurs, aussi bien du côté du cinéma que des jeux-vidéos.

 

Une immersion un peu trop réussie au cinéma.

En août 2011, un chercheur américain a étudié 400 spectateurs sortant d’une salle de cinéma. Ceux qui avaient vu le film en 3D étaient trois fois plus nombreux à souffrir de maux de tête, de fatigue oculaire et de troubles de la vision. Or, ces troubles ne seraient pas nécessairement compensés par un plaisir plus intense, car d’après les résultats, les spectateurs de 3D auraient eu une expérience émotionnelle similaire à ceux de la 2D.

 

Attention aux enfants.

Le même reproche avait été fait à la console 3DS lors de sa sortie. Selon l’association Robin des Bois qui s’offusque des conséquences de la 3D sur nos yeux, deux populations seraient particulièrement sensibles aux effets de la 3D : les personnes souffrant de déséquilibres binoculaires, par exemple ceux qui auraient tendance à loucher, ainsi que les enfants dont le système oculaire est en cours de développement. Le journal Le Figaro enfonce le clou en octobre 2011 avec un article intitulé : « Les images 3D représentent un risque pour les enfants». Selon le journaliste, près de 20% des personnes supporteraient mal les images en relief !
Alors offrons un peu de répit à nos yeux, tant que la télévision en 3D n’a pas encore envahi nos salons !

 

Devant l’écran, 5 conseils pour préserver son cou et son dos :

Les conseils de l’Association Française de Chiropratique pour contrer ce fléau :
  • Faites des pauses fréquentes entre deux usages de l’appareil.
  • Soignez votre position. Surélevez votre ordinateur de façon à ce que le haut de l’écran soit au niveau des yeux. Apposez les coudes sur le bureau.
  • Ne restez pas trop longtemps la tête fléchie en avant et vers le bas, de manière prolongée.
  • Tenez votre téléphone à hauteur de visage lorsque vous rédigez un SMS. Placez vos bras et avantbras à angle droit.
  • Etirez régulièrement le dos et le cou.
 Femme Actuelle. Janvier 2012

Alemán B1 EOI Murcia - Mobilität, die Autos der Zukunft

Online-Übungen für Deutsch als Fremdsprache


EOI alemán B1 - Mobilität – die Autos der Zukunft
Mobilität ist ein Grundbedürfnis der Menschen – das hat sich seit der Erfindung des Rads nicht geändert. Mobilität prägt unsere Wirtschaft. In Deutschland hängt fast jeder zweite Arbeitsplatz direkt oder indirekt von der Automobilindustrie ab. Noch nie fuhren so viele Autos auf deutschen Straßen wie heute – und wenn die Prognosen recht behalten, wird ihre Zahl weiter zunehmen.
Seit den 50er Jahren stieg die Anzahl der Pkw von drei Millionen in den alten Bundesländern auf heute rund 44 Millionen Fahrzeuge in ganz Deutschland. Obwohl künftig die Bevölkerung nur gering wachsen wird, sollen die Autozahlen bis zum Jahr 2020 auf 48 bis 52 Millionen Fahrzeuge steigen, vermutet eine Shell-Studie vom August 2001. Deshalb werden Verkehrstaus und Lärm weiter zunehmen. Trotzdem wird die Luft nicht schlechter. Im Gegenteil: Seit den 80er Jahren haben sich die schädlichen Autoabgase um mehr als 60 Prozent verringert. Dank verschärfter Abgasvorschriften entwickelte die Automobilindustrie bessere Motoren, die weniger Sprit verbrauchen, und baute Abgasreinigungsanlagen in die Fahrzeuge ein. Außerdem haben sich die europäischen Automobilbauer verpflichtet, den Durchschnittsverbrauch aller neu zugelassenen Pkw um 25 Prozent zu senken.
Seit über 100 Jahren fahren Elektromobile mit Batterien an Bord. Solche batteriegetriebenen Fahrzeuge sind leise und stoßen keine giftigen Abgase aus. Doch als Massenverkehrsmittel konnten sie sich nicht durchsetzen, weil die Fahrbatterie zu schwer und zu teuer ist. Außerdem kann die Batterie nur wenig Energie speichern, was die Reichweite solcher Autos deutlich einschränkt. Trotzdem versuchen die Autohersteller, das Elektroauto straßentauglich und vor allem kundenfreundlich zu entwickeln – in erster Linie auf politischen Druck in den USA.
Seit 2003 müssen in Kalifornien und weiteren vier US-Bundesstaaten zehn Prozent der Fahrzeuge schadstofffrei sein. Wer also dort Autos verkaufen will, muss abgasfreie Fahrzeuge anbieten. Das können zurzeit nur Elektrofahrzeuge leisten, die ihren Strom aus Batterien erzeugen.
Noch tanken die meisten Autos für den Straßenverkehr Kraftstoffe aus Erdöl. Doch seit Jahren wird intensiv an Ersatztreibstoffen geforscht. Dafür gibt es verschiedene Gründe. Die Luftverschmutzung nimmt ständig zu und trägt zum Klimawandel bei. Deshalb werden immer strengere Umweltgesetze erlassen, die herkömmliche Kraftstoffe nicht mehr einhalten können. Außerdem sind viele Experten davon überzeugt, dass in den nächsten Jahrzehnten die Erdölquellen immer dürftiger sprudeln und irgendwann einmal sogar ganz versiegen werden. Alternative Kraftstoffe wie Erdgas, Wasserstoff oder Biodiesel sollen die Abhängigkeit vom Erdöl künftig verringern helfen.
In Deutschland hat sich die Zahl der mit Erdgas betriebenen Fahrzeuge in den letzten Jahren stetig erhöht. Rund 13.000 Wagen fahren heute bereits mit Flüssiggas. Damit liegt die Energie Flüssiggas in Deutschland an der Spitze der alternativen Treibstoffe. Im europäischen Vergleich allerdings rangiert Deutschland auf einem der letzten Plätze.
Der Kraftstoff Biodiesel kommt vom Acker und wird in Deutschland bereits von über 1000 Tankstellen angeboten. Hergestellt wird der umweltfreundliche Treibstoff aus Pflanzenöle. Eine der wichtigsten Ölpflanzen in Europa ist der gelb blühende Raps. Das daraus gewonnene Pflanzenöl wandelt eine chemische Reaktion zu Biodiesel um. Bei der Verbrennung im Motor entsteht nur etwa die Hälfte an Ruß wie beim herkömmlichen Dieselkraftstoff. Allerdings verträgt nicht jedes Dieselfahrzeug den alternativen Kraftstoff. Die Fahrzeughersteller geben Auskunft, welche ihrer Wagen Biodiesel tanken dürfen, ohne dass beispielsweise Kraftstoffleitungen Schaden nehmen.
Die Technik, einen Verbrennungsmotor mit Wasserstoff anzutreiben statt mit Benzin oder Diesel, ist bereits vorhanden. Trotzdem nutzen sie bisher nur wenige  Testfahrzeuge. Denn den 253 Grad kalten, flüssigen Wasserstoff zu tanken, ist nicht ganz einfach. Die weltweit erste Robot-Tankstelle für flüssigen Wasserstoff wurde auf dem Flughafen München errichtet. Dort testen Erprobungsfahrzeuge des Typs BMW 750hL diesen alternativen Treibstoff auf Alltagstauglichkeit. Eine neue Tanktechnik ist derzeit in der Entwicklung, sie wird das normale Betanken per Hand weiter erleichtern.

Wörtererklärung
  • r, Ruß = schwarzer Kohlenstoff, der durch Verbrennung kohlenstoffreicher Substanzen entsteht

Edinburgh cafés - EOI Asturias inglés B1 resuelto

Edinburgh cafés - The Elephant House

Water of Leith Café Bistro

I visited it on a weekday at lunch time and had fortunately booked a table, as people were being turned away. Despite the place being busy, we did not feel rushed and service was very friendly. I had a good courgette quiche, followed by a delicious pear and almond cake. The café is family friendly and there were some noisy kids. Very friendly greeting both on the phone and when we got there. Nice atmosphere, tasty menu and the food did not let it down. We all really enjoyed our meal. Great to chat to the chef afterwards. Thoroughly recommend this little gem.

The Haven Café

This little gem is not that easy to find as it is on the shore at Newhaven and not actually in Edinburgh but it is well worth the trip out from the city. It is small and cosy and tables were never free for more that a few minutes. It is clearly a favourite with locals and visitors alike. The food is excellent. We had the all day breakfast which is a comprehensive Scottish breakfast which is full of flavour, freshly cooked and made with fresh local ingredients. Particularly of note is the haggis which is the best I have had in a long time. You get a large cup of tea, bigger than in most cafés, with plenty of milk on the table. The girls behind the counter work very hard to ensure a great eating experience. We will definitely be back.

Elephant House

Great little café. Obviously, if you're a big Harry Potter fan, you want to come to where it all started, and that alone is well worth the five-star review. The café itself is not catered specifically to fans (though they do have souvenir mugs and shirts for sale), which is nice, still the same atmosphere as when JK Rowling came here to write, I think. Make sure you check out the toilets if you're a fan, though, and bring your camera and a pen with you. For non-Potter fans, this little café is definitely still worth it. Breakfast was fantastic though a bit pricey. I got the pancakes with bacon, an almond croissant, and some tea. My companions got beans on toast and the full breakfast, respectively, and we all enjoyed our food. It's a nice, quiet atmosphere even for such a now well-known place and we stayed for over an hour. The food sustained us all day, so we ended up not eating "lunch" until almost 4 pm! Make sure you check out the view out the back windows, too, you can see the castle!

Ship on the shore

I went to the Ship on Saturday, and I have to say that I’m very pleased with the choice. The place is wonderful, it's like having dinner in a restaurant of centuries ago, candle light, foggy windows… super. Scallops and mussels are AMAZING, we've also had a paella which was OK - the fish was very good, the rice however, was overcooked. I tried the crumble pie for dessert. Price is expensive, but fair for the things you'll eat; good quality fish is expensive. I'll definitely come back.

Wildfire

This is a very small restaurant, with only about 30 places, and not having booked we were very lucky to get a table for two. We had the fish chowder, a steak and steak pie, and all the food was brilliant. Unfortunately, we could not manage a sweet, but they also looked great. The service was attentive and friendly.

Angels with Bagpipes

Fabulous little bar and restaurant. If we had known about it, we would definitely have eaten here as the food looked fantastic. Recommended by the lady on the bus tour.

Gli anni ‘70

Festival di Sanremo
Gli anni Settanta sono stati anni di trasformazione e svecchiamento anche nel campo della musica, dell'intrattenimento radiofonico e televisivo, della satira politica e di costume. Per capire come cambiarono, in quel decennio, i gusti del pubblico (e dei giovani in particolare), basta guardare i dati del Festival della Canzone Italiana o di Sanremo, la manifestazione canora più famosa, e contestata, d'Italia.
Per tutti gli anni Sessanta le tre serate del festival sono andate in onda in diretta sia alla radio che in televisione: partecipavano i big della canzone italiana e si vendevano tantissimi dischi a 45 giri (circa 6 milioni di copie, tra 45 e 33 giri, solo nel 1964). Ma tra il 1973 e il 1980 la televisione trasmette in diretta solo la serata finale: i cantanti importanti snobbano la manifestazione e le vendite dei 45 giri calano a picco (nel 1975, anno 'nero' del festival, vendute appena 45.000 copie).
Solo negli anni Ottanta si ricomincia con la diretta televisiva dell'intera manifestazione, in concomitanza con quello che è stato chiamato "il riflusso". Oggi le serate del festival sono addirittura cinque, e tutte trasmesse in diretta.
Gli "anni bui" di Sanremo riflettono la crisi di cambiamento che in quel decennio investe ogni aspetto della società italiana.
I giovani impazziscono per una trasmissione radiofonica che si chiama Alto Gradimento, andata in onda tra il 1970 e il 1976. Un programma bizzarro, addirittura demenziale, assolutamente diverso da tutto quanto proponeva allora la radio: brani musicali non convenzionali si alternavano alle gag comiche di una galleria di personaggi surreali, il tutto coordinato dai due "presentatori" Renzo Arbore e Gianni Boncompagni e con un ritmo serrato. Molte battute, ripetute a mo' di tormentone, sono entrate nel linguaggio comune e chi allora aveva vent'anni ancora se le ricorda.
Renzo Arbore è anche l'autore di una trasmissione televisiva parimenti rivoluzionaria, L'altra Domenica (1976-1979), trasmessa la domenica pomeriggio sul "secondo canale" della R.A.I. Inventata per soddisfare un pubblico che non seguiva volentieri il programma che andava in onda già da anni sul "primo canale" (Domenica In), decisamente più tradizionale, aveva tra i suoi protagonisti un giovanissimo Roberto Benigni, che interpretava un surreale critico cinematografico (parlava di film che non aveva visto). La sigla finale, poi, era cantata dalle Sorelle Bandiera, tre vigorosi giovanotti travestiti da donna. Il successo era stato travolgente e gli ascolti altissimi, tanto da preoccupare gli autori del programma concorrente, Domenica In.
Insomma, all'epoca si sperimentava, altro che i noiosi e prevedibili format che ci vengono propinati oggi.
I giovani che si divertivano con queste trasmissioni difficilmente seguivano Sanremo. Ascoltavano la musica anglosassone, ma anche quella dei numerosi gruppi nati in Italia proprio in quegli anni: è italiano uno dei filoni più originali di quello che è chiamato Progressive Rock, tanto che alcuni di questi gruppi ottennero successo anche all'estero (ad esempio, la Premiata Forneria Marconi).
E poi i giovani ascoltavano, e suonavano alla chitarra, i brani dei cantautori. Ce n'era per tutti i gusti: canzoni "impegnate" che parlavano di problemi sociali e di politica, brani sperimentali nel testo come nella musica o di carattere più decisamente poetico. Ma anche la 'musica leggera' poteva essere di altissimo livello, come testimonia la produzione di Lucio Battisti.
La musica, come le trasmissioni di cui si è parlato, avevano in comune la voglia di cambiare, di sperimentare. Ma anche l'irriverenza. E, a proposito di irriverenza, non possiamo non citare un giornale satirico nato alla fine degli anni Settanta, Il Male (1977-1982), un giornale che ignorava l'idea del "politicamente corretto". Tanto è vero che le vignette satiriche e gli articoli, feroci e sarcastici, causarono un gran numero di denunce (molte per vilipendio della religione) e parecchi sequestri.
Geniale, in particolare, l'idea di falsificare la prima pagina dei quotidiani più famosi, inventandosi scoop demenziali: famosissima la pseudo-prima pagina del Paese Sera con la notizia dell'arresto dell'attore Ugo Tognazzi perché capo delle Brigate Rosse.
Attualmente non esiste niente di paragonabile, la satira politica è guardata con sospetto e la Chiesa è intoccabile.
Certo, viene da dire... si stava meglio quando si stava peggio.
Giulia Grassi (scudit.net)

La famiglia italiana

La famiglia italiana
La struttura della famiglia degli ultimi trenta anni è molto diversa dal modello tradizionale della famiglia italiana. La famiglia moderna è composta dai genitori ed uno o due figli (raramente, almeno al Centro- e Nord-Italia, più di due), ed entrambi i genitori generalmente lavorano fuori casa.
La famiglia tradizionale, agricola e patriarcale, era invece molto numerosa e riuniva genitori, figli e nipoti sotto uno stesso tetto: era formata, insomma, da quelle che oggi sarebbero considerate più famiglie differenti. Gli uomini lavoravano, mentre le donne si occupavano della casa e dell'educazione dei figli.
La trasformazione della famiglia, causata dalla conversione dell'Italia da un paese prevalentemente agricolo ad uno industriale, non ha, tuttavia, ancora cancellato ogni traccia del vecchio modello. Ci sono ancora abitudini e modi di pensare che legano la famiglia del passato a quella del presente.
In primo luogo, a livello della vita quotidiana, le famiglie italiane si riuniscono sempre, per almeno un pasto al giorno, intorno allo stesso tavolo. La cena è un momento di dialogo tra genitori e figli, uno dei pochi nei quali tutti i membri della famiglia hanno la possibilità di stare insieme.
In secondo luogo, pur essendo una famiglia nucleare, non è raro che uno dei nonni paterni o materni, specialmente se è rimasto vedovo o vedova, viva in casa con uno dei figli. Anche se non in casa, in ogni modo, i nonni vivono generalmente nella stessa città di uno dei figli e sono oggetto delle cure dei familiari. Accade di rado, solo in caso di impossibilità pratica a fornir loro assistenza, che i figli chiedano il ricovero dei genitori anziani in istituti (le cosiddette "Case di riposo").
Un ulteriore elemento che lega ancora la famiglia italiana di oggi a quella del passato è lo stretto legame affettivo che rimane tra i suoi membri, anche quando questi hanno formato nuovi nuclei familiari. Gli italiani sono, per esempio, sempre pronti ad aiutare i loro parenti, specie nel campo del lavoro o nelle difficoltà economiche.
E anche se vivono lontano i membri di uno stesso gruppo familiare cercano sempre di ritrovarsi tutti insieme in occasione delle feste religiose (Natale e Pasqua) o di quelle familiari (battesimi, prime comunioni, matrimoni).
Se confrontiamo, infine, la famiglia italiana con quella americana, emerge un'ultima caratteristica del modello italiano. E' molto comune che i figli vivano con i propri genitori molto più a lungo che negli altri paesi occidentali, spesso fino ai trenta/trentacinque anni. Prima di sposarsi e di iniziare una nuova famiglia, infatti, è normale, per un giovane italiano, continuare a vivere nella stessa casa dei genitori e dipendere economicamente da loro.

Il libro, l'e-book e el corpo a corpo del lettore

Il libro, l'e-book e el corpo a corpo del lettore
Perché è meglio non sottovalutare il rapporto fisico con i libri e perché, anche se dobbiamo abituarci agli e-book, è meglio pensare di farlo con molta tolleranza per chi invece fatica a farlo, e soprattutto senza supponenza d’avanguardisti; e, d’altra parte, chi è diffidente davanti al libro digitale dovrebbe almeno mettere da parte un po’ di snobismo e provare.
In una delle ultime riunioni del gruppo di lettura di Cologno Monzese mi sono presentato per la prima volta con il libro letto che stava dentro il Kindle invece che in volume. Quell’incontro mi ha lasciato con la sgradevole sensazione che in questi mesi avessi sottovalutato le privazioni fisiche che la lettura dell’e-book infligge.
Il libro in lettura al Gdl era: Giorgio Cosmacini, Compassione (Il Mulino); l’ho letto in e-book perché era venduto a un buon prezzo rispetto alla copia stampata e soprattutto mi serviva in fretta, visto che avevo deciso tardi di partecipare alla lettura condivisa dal Gdl: così una sera, pochi giorni prima della riunione, in pochi secondi mi sono trovato con il libro fra le mani (espressione che in questo caso era solo una metafora visto che il file è finito, invisibile, nella memoria del Kindle).
Qui però, per una volta, non importano le impressioni di lettura condivise nel gruppo, ma l’impressione collaterale della lettura dell’e-book. O meglio, l’impressione suscitata dall’essere lì con un Kindle e discutere con altri lettori di un libro che io ho letto sul Kindle e gli altri in volume.
Uso il Kindle – e un Kobo – da più di un anno, con una certa soddisfazione anche se con poco entusiasmo. Diciamo con profitto funzionale: è comodo, leggero, spesso conveniente (perché gli e-book a volte hanno dei prezzi “buoni”, diciamo meno della metà di quello del libro stampato, per il mio giudizio). Oltre al Kindle continuo a leggere libri stampati; diciamo che libri ed e-book convivono sul mio comodino e si dividono il mio tempo di lettura più o meno con un 70% (libri) – 30% (e-book).
Parlando del Kindle ho quasi sempre messo tra parentesi la questione “fisica”. Mi sembrava imprecisa e vaga come critica, mi pareva un po’ nostalgica, immotivatamente nostalgica, proprio perché vaga. Pensavo ad altro. Poi però quella riunione del Gdl mi ha portato sotto il naso, perfettamente a fuoco, proprio la questione fisica dell’uso dell’e-book: il diverso corpo a corpo con il libro, anzi, forse, l’impossibile corpo a corpo con il libro, perché l’e-book ci impedisce (o forse dovrei dire “ostacola”) il corpo a corpo. Insomma: i post-it colorati alle pagine giudicate decisive, le note a matita a margine, in corrispondenza dei post-it (sì certo nell’e-book si prendono le “note”, ma sono ben altro); il balzo da un una pagina all’altra, grazie al ricordo visivo di dove stava messo un certo paragrafo, solo per citare qualche sensazione che l’e-book nega. E che poi mi ha portato a ricordare altri mancati corpo a corpo, impediti dall’e-book: per esempio il senso di accumulo delle pagine lette, e quello di attesa per il restante volume di pagine da leggere, o ancora la possibilità di piegare le pagine agli angoli, o di sfogliare le pagine vedendone più di una alla volta. Perché l’e-book ha sempre solo una pagina, lo schermo; si scorre ma è sempre “la stessa”.

Ora i compiti sono più difficili

Ora i compiti sono più difficili

Sorprendenti risultati di un sondaggio inglese

Sette genitori inglesi su dieci non sanno fare i compiti dei loro figli che frequentano le scuole medie. Lo hanno confessato, con un po’ di vergogna, rispondendo a un sondaggio del Dipartimento governativo anglosassone per L’Educazione, alla vigilia dell’inizio del nuovo anno scolastico. “Quando i nostri ragazzi tornano a casa con un compito d’inglese o di matematica non sappiamo come aiutarli” hanno ammesso mestamente. “Così siamo costretti a rinunciare a dare loro una mano e a lasciare che se la cavino da soli, con il rischio però che il giorno dopo prendano un brutto voto”. Ma non è per ignoranza che le mamme e i papà britannici ammettono la loro sconfitta, anche perchè molto spesso si tratta di genitori diplomati o addirittura laureati, più o meno giovani e appartenenti persino a ceti sociali elevati. “I programmi scolastici di questi anni risultano completamente diversi da quelli dei nostri tempi, le terminologie usate sono del tutto differenti e noi così non ci riconosciamo più con ciò che viene insegnato ai nostri figli. Quindi non siamo in grado di aiutarli a risolvere problemi di matematica o gli esercizi di grammatica” hanno spiegato rispondendo alle domande del sondaggio. Dalle risposte fornite emerge che un genitore su cinque rimane sempre sorpreso davanti alle difficoltà dei compiti assegnati ai figli e che nove su dieci si mostrano dispiaciuti di tale incapacità di aiutarli perchè sono convinti che i consigli di mamma e papà possano contribuire a ottenere risultati scolastici migliori. E in Italia cosa accade? I nostri genitori sono in grado di aiutare i figli nei compiti oppure si trovano ad affrontare le medesime condizioni di quelli inglesi? Da noi non sono state fatte statistiche specifiche su questo tema, ma basta domandare a un insegnante o a un padre o a una madre per scoprirlo. “Anche i genitori italiani non sanno fare i compiti, anzi non sanno nemmeno da che parte cominciare”, rivela la scrittrice Paola Mastrocola, professoressa di Lettere in un liceo scientifico di Torino, che ha trattato pure questo argomento nel suo ironico saggio La scuola raccontata al mio cane, edito da Guanda e diventato un vero best seller. “Il problema è che non soltanto sono cambiati i programmi ma, il che è peggio, si è modificato completamente il lessico, cioè il modo di denominare, per esempio, gli elementi base della grammatica e della matematica, e questo fa nascere una grande confusione nella testa dei genitori. Un esempio? Se un ragazzo torna a casa e chiede: “Mamma, mi aiuti a trovare l’espansione dell’oggetto?”, è molto probabile che sua madre non sappia che il figlio vuole cercare semplicemente il predicato verbale o il complemento oggetto di una frase, che adesso a scuola si chiamano così”. E’ la terminologia, quindi, a essere cambiata e ormai consiste non solo di parole ma anche di segni: il vecchio, caro riassunto ora si chiama analisi narratologica, l’analisi logica si definisce analisi simbolica ed è fatta segnando con quadretti e cerchietti i verbi, i soggetti e gli aggettivi di un testo, mentre la matematica può essere del certo o del probabile, ovvero, traducendo, riguardare affermazioni del tipo vero o falso oppure affermazioni di tipo statistico.
Chi ha avuto la bella pensata di rendere la vita impossibile ai genitori abituati a un linguaggio più facile e comprensivo? “Non dipende dal ministero dell’Istruzione, il cui PUNTI compito è soltanto quello d’indicare i programmi scolastici” sostiene la professoressa Mastrocola. “E’ tutta colpa dei pedagogisti e dei linguisti che, negli ultimi trent’anni, hanno ritenuto di dovere svecchiare il linguaggio puntando su termini tecnici con l’idea di renderlo più colto, senza accorgersi che così hanno fatto perdere la poesia e il senso della bellezza a molte materie, l’italiano in particolare. E, da un po’ di tempo, pure i libri di testo si sono adeguati alla nuova terminologia, gettando nello sconforto i genitori che non sono più in grado di seguire i figli quando svolgono i compiti a casa e vi rinunciano, anche per evitare di essere tacciati d’ignoranza dai loro bambini”. D’altra parte abbiamo chiesto al professor Paolo Crepet, psichiatra esperto di problemi giovanili. “Aiutarli a fare i compiti li danneggia molto perchè li rende insicuri”, afferma. “Fin dalle elementari, consiglio di abituare i bambini a farli da soli e a prepararsi alle interrogazioni senza avere accanto qualcuno con cui ripetere gli argomenti, magari un adulto che suggerisca pure loro come risolvere gli esercizi o che cosa scrivere in un tema” Gli chiediamo se si può fare un’eccezione nel caso che siano molto impegnativi: “Meglio evitarlo. Lasciate che si arrangino da soli. Anzi, se il ragazzo è alle prese con un compito difficile raccomando di lasciarlo andare a scuola correndo il rischio di prendere un brutto voto. Quell’insufficienza lo aiuterà a crescere molto più di un bell’otto strappato senza fatica grazie agli “aiutini” di mamma e papà, ammesso che sappiano darglieli”.
© Dipiù. 2006

Un blog à succès - EOI francés B1

Les tribulations d'une caissière
En l'espace d'un mois, la vie d'Anna a basculé. Il y a peu, elle était encore hôtesse de caisse dans un hypermarché Leclerc à Rennes. On la retrouve désormais sur les plateaux télé, comme chez Laurent Ruquier (France 2) ou face à Samuel Etienne (Canal+). Elle a déjà eu les honneurs de la presse locale et nationale. À 28 ans, elle est débordée mais ne se plaint pas de sa notoriété soudaine.
«C'est curieux à vivre mais ce n'est pas désagréable», indique-t-elle, pas peu fière. Pas tellement d'ellemême, mais de toutes les caissières. Ces employées trop souvent dépréciées, dont elle s'est fait la porteparole et qu'elle défend sur les plateaux télévisés. Son succès s'est forgé sur Internet où Anna a créé son blog, en avril 2007. Populaire, il totalise aujourd'hui plus de 155000 connexions. Bien avant sa médiatisation, le site comptait déjà 1500 lecteurs quotidiens.
Un peu dépassée par l'impact de ses écrits, la jeune femme avoue qu'à l'origine, elle percevait les blogs comme des journaux intimes un peu ennuyeux. Mais elle s'est finalement rendu compte que c'était le moyen le plus pratique pour exprimer ses idées. «J'en avais marre du regard des clients qui nous prennent pour des écervelées, marre de ceux qui ne disent jamais bonjour ou qui téléphonent sans gêne en passant à la caisse».
Souvent pathétiques pour le genre humain mais jamais méchantes ou humiliantes, les anecdotes d'Anna se sont nourries de ses derniers mois passés devant le tapis roulant, à raison de vingt-quatre heures par semaine. Elles révèlent les pires comportements des consommateurs, au moment où ils passent à la caisse: l’impatience, l'indifférence, l'égoïsme, le stress... Toujours sur un ton humoristique et léger. Elle est consciente que les scènes qu'elle rapporte ne reflètent qu'une infime partie de la vie de ces gens et ne l'autorisent pas à généraliser sur la société.
Début janvier, Anna a laissé son job à l'hypermarché. Elle espère retrouver un travail au contact des livres, dans une bibliothèque ou une maison d'édition. Pas question pour autant de tourner définitivement la page de son blog. Elle conserve quantité de notes dans son carnet et projette même d'ouvrir les colonnes de son site à d'autres caissières ou caissiers, qui loin de n'enregistrer que des codes-barres, sont autant de regards sur les millions de clients qui fréquentent chaque jour les supermarchés.
© Le Monde, Emmanuel Valette, janvier 2008
(Texte adapté pour cette épreuve)

Paare in getrennten betten - Alemán B1 EOI Canarias

Online-Übungen für Deutsch als Fremdsprache

Getrennte Schlafzimmer als Zeichen einer ermüdeten Beziehung?

 

EOI alemán B1 - Paare in getrennten betten
Neulich war ich bei einem Abendessen mit Freunden. Die Frage "Schlaft ihr eigentlich noch in einem Bett?" kam dort ungefähr so an, als hätte man sich nach deren letzten „One-Night-Stand“ (=einmalige außereheliche Beziehung) erkundigt.
Die Schlafzimmerfrage scheint also einiges über unser Verständnis von Liebe zu erzählen; als seien unsere Schlafgewohnheiten so etwas wie ein Spiegel der Beziehung. Nach dem Motto: Nur wer besonders dicht aneinandergekuschelt die Nacht verbringt, kann sich besonders lieb haben. Für viele folgt getrennten Schlafzimmern bald die sichere Scheidung.
Nun kennt die nächtliche Innigkeit viele Nuancen. Das beginnt mit Alltäglichkeiten wie mit der Entscheidung für oder gegen einen Schlafanzug. Oder der Bettzeugfrage. Die Deutschen scheinen zum Beispiel ihr Federbett so ungern zu teilen wie ihr Kopfkissen. Jeder schläft am liebsten für sich allein unter der warmen Decke.
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