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Examen FP Grado Superior 2012 - Learn about the Earth, Moon, and Sun

Each day we learn more about the Earth, the Moon, and the Sun.
From far out in space, Earth looks like a blue ball. Since water covers three-fourths of the Earth’s surface, blue is the colour we see most. The continents look brown, like small islands floating in the huge, blue sea. White clouds wrap around the Earth like a great blanket. The Earth is shaped like a sphere or a ball. It is 25,000 miles around! It would take more than a year to walk around the whole planet. A spaceship can fly around the widest part of the sphere in only 90 minutes.
Even though spaceships have travelled to the Moon, people cannot visit the Moon without special suits. The Moon has no air or water. Plants and animals can’t live there either. Astronauts first landed on the Moon in 1969. After that, there were six more trips to the moon.
They brought back Moon rocks, which scientists are still studying. There are holes, or crates, all over the Moon’s surface. Scientists believe that meteorites smashed into the Moon millions of years ago and formed the craters.
The Sun is the closest star to Earth. A star is a hot ball of burning gas. The Sun looks very big because it is so close. But the Sun is just a medium-sized star. Billions of far away stars are much bigger than our Sun. The burning gases from the Sun are so hot that they warm the Earth from 93 million miles away! Even though the Sun is always glowing, the night here on Earth is dark. That’s because the Earth rotates, or turns around, every 24 hours. During the day, the Earth faces the Sun. Then we see light. During the night, the Earth turns away from the Sun. Then it faces the darkness of space.
Each day we learn more about the Earth, the Moon, and the Sun.

Qui contrôlera le savoir à l’avenir? - FP Grado Superior 2012 - francés A2

Eurpopeana - Pensez culture
Qui contrôlera le savoir à l’avenir ? Alors que la numérisation de la culture humaine s’accélère, les éditeurs et les universitaires ont été amenés à se poser la question. Jusqu’à présent, la réponse la plus vraisemblable était Google. Le moteur de recherche numérise des livres et les diffuse en ligne depuis 2004.
Mais un concurrent est en train d’apparaître. En 2010, Robert Darnton, historien de la culture et directeur des bibliothèques de Harvard, est bien décidé à ne pas laisser une entreprise privée monopoliser l’accès au savoir de l’humanité. Son projet de bibliothèque numérique ouverte à tous devrait être prêt pour 2013. Elle rassemblerait les fonds numérisés des grands instituts de recherche américains, mais intégrerait aussi d’autres supports que le texte –vidéos, musique, films- ainsi que les archives du web conservés par l’association Internet Archive.
Comme dans le cas de Google Books, il s’agit de numériser le patrimoine culturel de l’humanité, afin de conserver les œuvres des auteurs, intellectuels et artistes, et d’en assurer une large diffusion. La différence, c’est que cette bibliothèque ne serait pas gérée par une entreprise privée. Elle serait accessible à tous, partout et à tout moment, gratuitement.
M. Darnton a exprimé pour la première fois son idée lors d’un discours à l’université Harvard : « Ce n’est pas l’utopie d’un prof de fac, assure-t-il. C’est quelque chose de tout à fait faisable. ». Et il continue : « C’est une idée qui trottait dans la tète de pas mal de monde depuis vingt ans. Mais dans le cas présent l’élément déclencheur a été le service Google Recherche de livres. À mesure que le projet Google a évolué il est devenu clair que ce serait une entreprise commerciale en situation de monopole. Un monopole plein de bonnes intentions peut-être, mais pas forcement au service du bien public, car Google rend d’abord et avant tout des comptes à ses actionnaires. »
En Europe, un projet similaire, Europeana (europeana.eu), a été lancé dès 2008. Cette bibliothèque numérique inclut le résultat de la numérisation des différentes bibliothèques nationales européennes. Elle compte à ce jour 20 millions d’objets numérisés et entend atteindre les 30 millions d’ici à 2015.
Courrier International. Février 2012 (texte adapté)
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